Umberto ECO – L’île du jour d’avant
/image%2F1962288%2F20160422%2Fob_58b1d4_unknown-27.jpeg)
Etait-ce une question de moment ? En tous cas, je suis complètement passé à coté de cet ouvrage après prés de 175 pages d’efforts. Entré dans ma bibliothèque à Noël 2000, j’avais essuyé un premier échec en 2001. Un ami m’a conseillé fortement la lecture d’Umberto ECO, aussi je me lançai à l’assaut. Rien à faire.
Je trouve le récit confus, le style rébarbatif. Des phrases à rallonge, l’utilisation intensive d’un vocabulaire particulièrement riche, des changements de rythme quand se croisent le roman historique et le pathos philosophique.
Je reprendrai peut-être cette lecture un été, avec le temps, avec la capacité de m’adapter à ce roman avec un dictionnaire à mon coté.
Mon ami me conseille de lire le Pendule de Foucault avant. Allons !
Lectori salutem, Pikkendorff